Les Aurès Revisités par Alain Barrandon
0Cinquante ans après son départ d’Algérie, c’était en janvier 1960, Alain Barrandon vient de publier en France un récit intitulé On m’appelait Taleb. Ex-instituteur volontaire dans les Aurès pendant quatre ans, l’auteur contacte, grâce à l’internet, l’un de ses amis en Algérie qui l’invite à y retourner et à retrouver tant de souvenirs. “C’est les plus belles années de ma vie”, dira Alain Barrandon qui avait tissé des liens intenses avec les villageois et surtout les enfants à l’école.
Source: Liberté
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À propos d’Alain Barrandon
Trente et un an comme maire, vingt et un ans instituteur, dont onze comme directeur, Alain Barrandon est une personne connue et reconnue dans le village. À la retraite, il décide d’écrire sur une période particulière de sa vie : en janvier 1960, à 18 ans, en plein conflit algérien, il se porte volontaire comme instituteur dans les Aurès. Il y restera 4 ans et demi. « Les plus belles années de ma vie », dit-il. Sûrement les plus intenses où, malgré le danger, il tisse des liens très forts avec les villageois et surtout les enfants. Cinquante ans plus tard et grâce à internet, l’un de ses amis algériens reprend contact, l’occasion pour lui d’y retourner et retrouver tant de souvenirs, dans une Algérie transformée.
C’est le récit de ces années de jeunesse qu’il décrit dans son livre, On m’appelait Taleb, qu’il dédicacera mercredi 5 décembre à 18 h à la bibliothèque.